MARQUISE DE SÉVIGNÉ, Recueil des lettres de madame la marquise de Sévigné, à madame la comtesse de Grignan, sa fille, 1754

CHF700.00

SEVIGNE, Marie de Rabutin-Chantal marquise de (1626-1696)
Recueil des lettres de madame la marquise de Sévigné, à madame la comtesse de Grignan, sa fille. Nouvelle édition augmentée. Tome I [- VIII].
A Paris, Desaint & Saillant, rue S. Jean de Bauvais, 1754. Huit volumes grand in-12° (103 x 169 mm) de [4]+XLII+456 / [4]+480 / [4]+504 / [4]+508 / [4]+528 / [4]+485+[1bl] / [4]+480 / [4]+474+[62] pages.
Portrait-fronstipice de la marquise de Sévigné d’après Le Fèvre gravé par Pelletier au tome I, et de la comtesse de Grignan d’après Mignard gravé par Aubert au tome V.
Reliure en pleine veau marbré de l’époque, dos à nerfs ornés, roulette sur les coupes, tranches rouges.

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Description

SEVIGNE, Marie de Rabutin-Chantal marquise de (1626-1696)

Recueil des lettres de madame la marquise de Sévigné, à madame la comtesse de Grignan, sa fille. Nouvelle édition augmentée. Tome I [- VIII].

A Paris, Desaint & Saillant, rue S. Jean de Bauvais, 1754. Huit volumes grand in-12° (103 x 169 mm) de [4]+XLII+456 / [4]+480 / [4]+504 / [4]+508 / [4]+528 / [4]+485+[1bl] / [4]+480 / [4]+474+[62] pages. Portrait-fronstipice de la marquise de Sévigné d’après Le Fèvre gravé par Pelletier au tome I, et de la comtesse de Grignan d’après Mignard gravé par Aubert au tome V. Reliure en pleine veau marbré de l’époque, dos à nerfs ornés, roulette sur les coupes, tranches rouges.
Ex-libris manuscrit au titre du tome I : « NNN (initiales illisibles) vicaire de Manneville”.
Etiquette ex libris : « André Gutzwiller » (Paris, 1922-Arlesheim, 2014), banquier et bibliophile bâlois.

Publication partagée avec le libraire Rollin ; c’est la seconde édition des lettres (la première est des 1734-1737, en six volumes in-12°) donnée par le chevalier Denis-Marius de Perrin (1689-1754), un Aixois auquel Pauline Adhémar de Monteil de Grignan, marquise de Simiane (1674-1737), avait confié l’ensemble des autographes de sa grand-mère, avec mission d’y mettre « la dernière main », en réaction aux éditions clandestines et faites sans son aveu entre 1725 et 1733, en un, deux, ou trois volumes. L’édition de 1754 contient 772 lettres, dont 133 sont ici en édition originale, et beaucoup sont ici plus complètes (Claudin, Bibliographie des éditions originales d’auteurs français composant la bibliothèque de feu M. A Rochebilière, 1882, pages 359-360, no 684 ; Tchemerzine 10, page 327).