DE BELLOY, Œuvres complettes de M. de Belloy, de l’Académie françoise, citoyen de Calais. 1779

CHF 500.00

DE BELLOY, Pierre-Laurent Buirette, dit (1727-1775)
Œuvres complettes de M. de Belloy, de l’Académie françoise, citoyen de Calais. Tome premier [- sixième].
A Paris, chez Moutard, imprimeur-libraire de la Reine, de Madame, et de Madame la Comtesse d’Artois, rue des Mathurins, à l’Hôtel de Cluny, 1779.
Six volume in-8° (132 x 198 mm) de XIII+[3]+445+[1bl] / [4]+387+[1bl] / [4]+427+[1bl] / 407+[1bl] / 381+[1bl] / [4]+469+[1bl] pages, portrait frontispice gravé anonyme au tome I.
Reliures en plein veau jaspé, triple filet doré sur les plats, dos à nerfs ornés, pièces de titre et de tomaison en maroquin vert, roulette sur les coupes, tranches marbrées. Superbes reliures, en parfait état.
Première édition de ces œuvres, complétées par une « Vie de l’auteur » et enrichies de commentaires et de nombreuses pièces justificatives.

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Description

DE BELLOY, Pierre-Laurent Buirette, dit (1727-1775)
Œuvres complettes de M. de Belloy, de l’Académie françoise, citoyen de Calais. Tome premier [- sixième].

A Paris, chez Moutard, imprimeur-libraire de la Reine, de Madame, et de Madame la Comtesse d’Artois, rue des Mathurins, à l’Hôtel de Cluny, 1779.
Six volume in-8° (132 x 198 mm) de XIII+[3]+445+[1bl] / [4]+387+[1bl] / [4]+427+[1bl] / 407+[1bl] / 381+[1bl] / [4]+469+[1bl] pages, portrait frontispice gravé anonyme au tome I.
Reliures en plein veau jaspé, triple filet doré sur les plats, dos à nerfs ornés, pièces de titre et de tomaison en maroquin vert, roulette sur les coupes, tranches marbrées. Superbes reliures, en parfait état.
Première édition de ces œuvres, complétées par une « Vie de l’auteur » et enrichies de commentaires et de nombreuses pièces justificatives.
Destiné initialement au barreau, Pierre-Laurent Buirette (1727-1775), en conflit avec son oncle et tuteur, se joignit à une troupe de comédiens qui partait en tournée dans le nord de l’Europe et prit le nom de Dormont de Belloy. Il fit une belle carrière d’acteur à St-Pétersbourg, avant de revenir à Paris en 1761 et de s’y faire connaître comme dramaturge. Il connut un succès considérable, mais éphémère, avec « Zelmire » (1762) et avec une pièce patriotique intitulée « Le siège de Calais » (1763), qui tombait à point nommé dans le contexte politique anti-anglais de la fin de la Guerre de Sept Ans. Elu en 1771 à l’Académie Française, il mourut néanmoins dans la gêne.