FAUCHET, De la Religion nationale. Par M. l’abbé Fauchet, prédicateur ordinaire du roi, vicaire-général de Bourges, abbé commandataire de Monfort. 1789

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FAUCHET, Claude (1744-1793)
De la Religion nationale. Par M. l’abbé Fauchet, prédicateur ordinaire du roi, vicaire-général de Bourges, abbé commandataire de Monfort.
A Paris, chez Bailly, rue S.-Honoré, barrière des sergens ; Desenne l’aîné, au Palais-Royal ; Lottin de S.-Germain, rue S.-André-des-Arts ; Cussac, au Palais-Royal ; Le portier de la Communauté de St.-Roch, 1789. Un volume in-8° (130 x 202 mm) de [2]+300 pages.
Reliure de l’époque en demi-basane racinée à petits coins, doss lisse orné de filets.
Ouvrage publié durant l’effervescence des Etats-Généraux de 1789 (l’approbation du censeur est du 30 mai 1789) par un abbé qui entendait réformer l’exercice de la religion, frappant son ouvrage d’une pathétique invocation : « Vous êtes appelés à la liberté, frères ! ».
Evêque constitutionnel du Calvados et député à la Législative en 1791, député à la Convention en 1793, il fut impliqué dans l’affaire Charlotte Corday, puis arrêté et guillotiné comme complice des Girondins.

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Description

FAUCHET, Claude (1744-1793)
De la Religion nationale. Par M. l’abbé Fauchet, prédicateur ordinaire du roi, vicaire-général de Bourges, abbé commandataire de Monfort.

A Paris, chez Bailly, rue S.-Honoré, barrière des sergens ; Desenne l’aîné, au Palais-Royal ; Lottin de S.-Germain, rue S.-André-des-Arts ; Cussac, au Palais-Royal ; Le portier de la Communauté de St.-Roch, 1789. Un volume in-8° (130 x 202 mm) de [2]+300 pages.
Reliure de l’époque en demi-basane racinée à petits coins, doss lisse orné de filets.
Ouvrage publié durant l’effervescence des Etats-Généraux de 1789 (l’approbation du censeur est du 30 mai 1789) par un abbé qui entendait réformer l’exercice de la religion, frappant son ouvrage d’une pathétique invocation : « Vous êtes appelés à la liberté, frères ! ».
Evêque constitutionnel du Calvados et député à la Législative en 1791, député à la Convention en 1793, il fut impliqué dans l’affaire Charlotte Corday, puis arrêté et guillotiné comme complice des Girondins.