BOUGEANT, Amusement philosophique sur le langage des bêtes. 1739

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BOUGEANT, Guillaume-Hyacinthe (1690-1743)
Amusement philosophique sur le langage des bêtes.
A La Haye, chez Antoine Van Dole, 1739.
Suivi de : Lettre du Père Bougeant, jésuite, à Monsieur l’abbé Savalette, conseiller au Grand Conseil [du 12 avril 1739 ; A La Haye, chez Antoine Van Dole, 1739].
Suivi de : Lettre à Madame la comtesse D*** pour servir de Supplément à l’Amusement philosophique sur le langage des bêtes [du 20 mars 1739] ; à La Haye, chez Antoine Van Dolen, 1739. Le tout en un volume in-12° (100 x 155 mm) de 135+[1]+8+40 pages.
Reliure de l’époque en demi-basane mouchetée à coins, dos à nerfs orné de filets à froid, pièce de titre en maroquin rouge ; charnières, coiffes et coins restaurés. Grand ex-libris héraldique gravé du XVIIIe siècle, aux armes et au nom de la famille Constant de Rebecque, de Lausanne.
Edition parue la même année que l’originale de ce badinage fondé sur l’exposition d’une fable indienne.

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Description

BOUGEANT, Guillaume-Hyacinthe (1690-1743)
Amusement philosophique sur le langage des bêtes.

A La Haye, chez Antoine Van Dole, 1739.
Suivi de : Lettre du Père Bougeant, jésuite, à Monsieur l’abbé Savalette, conseiller au Grand Conseil [du 12 avril 1739 ; A La Haye, chez Antoine Van Dole, 1739].
Suivi de : Lettre à Madame la comtesse D*** pour servir de Supplément à l’Amusement philosophique sur le langage des bêtes [du 20 mars 1739] ; à La Haye, chez Antoine Van Dolen, 1739. Le tout en un volume in-12° (100 x 155 mm) de 135+[1]+8+40 pages.
Reliure de l’époque en demi-basane mouchetée à coins, dos à nerfs orné de filets à froid, pièce de titre en maroquin rouge ; charnières, coiffes et coins restaurés. Grand ex-libris héraldique gravé du XVIIIe siècle, aux armes et au nom de la famille Constant de Rebecque, de Lausanne.
Edition parue la même année que l’originale de ce badinage fondé sur l’exposition d’une fable indienne : non seulement les bêtes ont un langage, mais aussi elles ont une âme ; certes une âme de démon, mais une âme tout de même. Le second degré de Bougeant ne fut pas toujours compris et certaines réactions outrées lui valurent de devoir se réfugier au prieuré de La Flèche (Sarthe). L’« Amusement » est complété ici par une « Lettre à Savalette » que Bougeant publia pour tenter de se justifier, et par une « Lettre à la Comtesse D*** », attribuée sans grande vraisemblance à François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois (1699-1784), surtout connu pour son Dictionnaire généalogique et héraldique. Quel qu’en soit l’auteur, il partageait en tout cas avec Bougeant une attitude pour le moins désinvolte envers les diables.