LE ROY – PELGAS, La médecine curative, 1822

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LE ROY – PELGAS, Louis
La médecine curative, ou la purgation dirigée contre la cause des maladies, reconnue et analysée dans cet ouvrage. Par Leroy, chirurgien consultant. Dixième édition, revue corrigée, et augmentée d’une seconde partie. Première partie.
Se trouve à Paris, maison de l’auteur, rue de Seine, no 497, faubourg Saint-Germain, imprimerie de Nicolas Vaucluse, 1822. Un volume in-12° (113 x 176 mm) de XVI+352+8 pages. Reliure de l’époque en demi basane brune à coins, dos lisse orné de filets, étiquette de titre jaune; coins émoussés. Les 8 pages finales sont consacrées à la « maladie vénérienne », une note indiquant que « nous avons placé cette description de maladie à la fin de la première partie de notre méthode, et l’avons concentrée dans un cahier particulier, afin que quiconque voudra en soustraire la lecture à telle personne que ce soit, puisse l’enlever facilement, sans nuire à la contexture du volume ». Première partie seule de ce « best-seller » de la médecine parallèle du XIXe siècle ; la préface, transpirant une autosatisfaction sans limites, pourrait avoir été écrite par le Dr Knock lui-même.

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Description

LE ROY – PELGAS, Louis
La médecine curative, ou la purgation dirigée contre la cause des maladies, reconnue et analysée dans cet ouvrage. Par Leroy, chirurgien consultant. Dixième édition, revue corrigée, et augmentée d’une seconde partie. Première partie.
Se trouve à Paris, maison de l’auteur, rue de Seine, no 497, faubourg Saint-Germain, imprimerie de Nicolas Vaucluse, 1822. Un volume in-12° (113 x 176 mm) de XVI+352+8 pages. Reliure de l’époque en demi basane brune à coins, dos lisse orné de filets, étiquette de titre jaune; coins émoussés. Les 8 pages finales sont consacrées à la « maladie vénérienne », une note indiquant que « nous avons placé cette description de maladie à la fin de la première partie de notre méthode, et l’avons concentrée dans un cahier particulier, afin que quiconque voudra en soustraire la lecture à telle personne que ce soit, puisse l’enlever facilement, sans nuire à la contexture du volume ». Première partie seule de ce « best-seller » de la médecine parallèle du XIXe siècle ; la préface, transpirant une autosatisfaction sans limites, pourrait avoir été écrite par le Dr Knock lui-même.