HUGO, Les Orientales, par Victor Hugo. 1829

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HUGO, Victor (1802-1885)
Les Orientales, par Victor Hugo.
Paris, Charles Gosselin, libraire de S. A. R. Monseigneur le duc de Bordeaux, rue S.-Germain des Prés, no 9, Hector Bossange, quai Voltaire, no 11, [imprimé chez Paul Renouard, rue Garancière no 5], 1829. Un volume petit in-8° (134 x 194 mm) de 4+XI+[1bl]+424 pages.
L’ouvrage est orné d’un frontispice gravé sur acier par Charles-Louis-Auguste Cousin (1807-1887) d’après Louis-Candide Boulanger (1806-1867), tiré sur Chine et intitulé « Clair de lune », et d’une vignette de titre gravée sur bois par L. Boulanger intitulée « Les Djinns ».
Reliure de l’époque en demi-veau vert, dos lisse orné mais uniformément décoloré en brun.
EDITION ORIGINALE, vendue 9 francs sur papier vélin, « tirée à 1250 exemplaires, répartis en quatre éditions fictives ; les trois dernières portant : troisième, quatrième ou cinquième édition, qui ainsi en sont fortement dépréciées. La première – à laquelle appartient notre exemplaire – sans mention d’édition, 300 exemplaires environ, en est du coup vivement recherchée » (Clouzot, 144 ; Vicaire IV, 244).

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Description

HUGO, Victor (1802-1885)
Les Orientales, par Victor Hugo.

Paris, Charles Gosselin, libraire de S. A. R. Monseigneur le duc de Bordeaux, rue S.-Germain des Prés, no 9, Hector Bossange, quai Voltaire, no 11, [imprimé chez Paul Renouard, rue Garancière no 5], 1829. Un volume petit in-8° (134 x 194 mm) de 4+XI+[1bl]+424 pages.
Le faux-titre porte « Œuvres de Victor Hugo » et la préface (page XI) est datée de janvier 1829.
L’ouvrage est orné d’un frontispice gravé sur acier par Charles-Louis-Auguste Cousin (1807-1887) d’après Louis-Candide Boulanger (1806-1867), tiré sur Chine et intitulé « Clair de lune », et d’une vignette de titre gravée sur bois par L. Boulanger intitulée « Les Djinns ».
Reliure de l’époque en demi-veau vert, dos lisse orné mais uniformément décoloré en brun.
EDITION ORIGINALE, vendue 9 francs sur papier vélin, « tirée à 1250 exemplaires, répartis en quatre éditions fictives ; les trois dernières portant : troisième, quatrième ou cinquième édition, qui ainsi en sont fortement dépréciées. La première – à laquelle appartient notre exemplaire – sans mention d’édition, 300 exemplaires environ, en est du coup vivement recherchée » (Clouzot, 144 ; Vicaire IV, 244).